Image : Testicules. Les parties, qui produisent le sperme et la testostérone, au milieu.
Une mauvaise santé génitale semble être devenue une épidémie répandue dans le monde entier qui s’aggrave. Les hommes européens produisent 60 % moins de spermatozoïdes qu’il y a 40 ans. La densité a diminué de 1 à 3 % par an. 40 % des hommes dans leur quarantaines et 50 % des hommes dans leur cinquantaines souffrent de dysfonctionnements érectiles occasionnelles ou chroniques.
Nous savons aussi que les hommes partout dans le monde produisent beaucoup moins de testostérone aujourd’hui qu’il y a quelques décennies. Cette hormone masculine vitale, produise dans les testicules, maintient la taille et la condition du muscle, les capacités sexuelles et les caractéristiques masculines comme la détermination et fermeté. La testostérone est également nécessaire pour maintenir la mémoire à d’âge moyen et plus.
L’hypertrophie de la prostate (quasiment tous les hommes sont affectés à l’âge de 60 ans) et le cancer de la prostate (1 homme sur 6 en est atteint) sont redoutés par les hommes d’âge mûr. Les maladies sont souvent passées sous silence en raison de leur nature privée et embarrassante.
Heureusement, les hommes comme les femmes en savent de plus en plus sur le sujet. La plupart des problèmes de santé génitale et de prostate ne sont pas invincible, les hommes peuvent en effet réduire les risques liés à la santé génitale en faisant les bons choix.
Notre mode de vie moderne est, à l’évidence, un désastre pour la santé génitale. Pendant des millions d’années, les parties génitales des hommes ont pu bénéficier d’un environnement libre et frais sans vêtements chauds ni pressants, avec suffisamment de mouvement, de ventilation et de la circulation sanguine et lymphatique libre, sans aucune pression. Les modes vestimentaires modernes, les périodes prolongées passées en position assise, la nutrition globalement mauvaise ainsi que l’état du système circulatoire réduisent tous à leur façon le bon métabolisme des parties génitales.